Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/88

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par une pine, car j’avais exploré son con avec mes doigts et n’avais pas trouvé de virginité. Je la lui mis dans la main et elle la pressa tendrement.

— Cette énorme affaire ne pourrait jamais entrer dans mon ventre ; regardez, elle est plus grosse que tous vos doigts rassemblés, et vos deux doigts sont déjà très serrés.

— Oui, chérie, mais la petite fente est élastique et est faite pour recevoir cette grosse affaire.

Tout en causant, je branlais son clitoris avec mes doigts, elle devint tout à fait en chaleur ; aussi, je lui dis :

— Laisse-moi essayer et, si ça te fait mal, je m’arrêterai. Tu sais, je suis toujours gentil avec toi.

— C’est vrai, mon bon ami, mais prenez bien garde de ne pas me faire souffrir.

Elle se coucha sur le lit, comme je voulus, avec les jambes bien écartées et les talons ramenés près des fesses. Je crachai sur ma pine, dont je mouillai la tête et la partie supérieure, je l’approchai de son con, bien lubrifié par ma salive pendant que je l’avais gamahuchée, j’entr’ouvris avec ma main gauche les grosses lèvres et j’enfonçai la moitié de la tête avant d’arriver à sa véritable entrée.

— N’aie pas peur, chérie, je ne te ferai pas de mal, et j’entrai tout à fait la tête et même un pouce en plus.

— Arrêtez, cria-t-elle, on dirait que vous allez me déchirer ; vous m’écartelez.