Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/89

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— Mais cela ne te fait pas encore mal, chérie ?

Je m’étais immédiatement arrêté avant de faire cette question.

— Non, pas exactement, cela me fait l’effet comme si j’avais quelque chose dans la gorge qui m’étouffe.

— Repose-toi un peu et cela va passer.

Je glissai un doigt sur son clitoris et elle devint de plus en plus excitée à mesure que je le branlais, serrant délicieusement ma pine dans son con. Elle avançait graduellement, car je continuai à pousser sans faire de mouvements. La moitié était déjà dedans, quand elle déchargea, ce qui non seulement lubrifia l’intérieur, mais fit relâcher les muscles intérieurs, et un doux mouvement en avant me logea jusqu’au fond ; je restai alors immobile jusqu’au moment ou elle revint de l’extase de volupté que lui avait procurée la décharge ; les pressions intérieures de son con augmentèrent et me prouvèrent que ses passions étaient de nouveau allumées. Elle ouvrit ses yeux et, me regardant amoureusement, dit que je lui avais procuré un très grand plaisir, mais elle sentait comme si quelque chose d’énorme la déchirait intérieurement.

— Est-ce que tout est dedans ?

— Oui, chérie, et, maintenant, cela va te donner un plaisir encore plus grand qu’auparavant.

Je commençai un lent mouvement de va-et-vient, branlant son clitoris en même temps, car