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elle continuait à la manier aussi gentiment. Elle bandait déjà avant que je n’eus fini ma phrase. Elle la caressa et même se baissa pour embrasser sa jolie tête rubiconde. Nous en serions vite arrivés à tirer un nouveau coup si nous n’avions été rappelés à nous par la sonnette que la tante tirait d’en bas pour appeler Jane : aussi, après avoir à la hâte arrangé ses cheveux et sa robe, elle descendit en emportant des menus objets du déjeuner.

Naturellement, un commencement aussi bon fut suivi de répétitions constantes, et Jane devint bientôt extrêmement passionnée, et, grâce à mes bonnes leçons, une fouteuse de premier ordre.

Comme tous mes chers amis n’étaient pas encore à Londres, j’étais heureux d’avoir cette « bonne bouche » pour m’entretenir. Mes sœurs passaient tous leurs dimanches avec moi et je les foutais à pleines cuisses sans jamais provoquer aucun doute dans la maison.

J’étais depuis un mois locataire de monsieur Nichols, lorsque la sœur de Jane arriva. C’était une femme bien plus belle que Jane, de larges épaules, une poitrine rebondie et ferme, n’ayant pas souffert de son accident, comme je pus m’en convaincre quelques jours après, car elle n’avait pas allaité son enfant. Ses hanches étaient très prononcées et elle avait un cul superbe. D’un tempérament très passionné, elle devint de plus en plus lascive quand elle eut tâté de l’énorme pine que je possède, et elle fut une des meilleures fouteuses que j’aie jamais rencontrées. Son casse-noisette