Page:Leblanc — Contes du soleil et de la pluie, parus dans L’Auto, 1902-1907.djvu/361

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

revers du talus, en lui disant qu’elle n’avait pas autre chose à faire qu’à se réveiller et à se débrouiller comme elle pourrait.

Et tranquillement, avec la conscience paisible du monsieur qui accomplit son devoir, j’emmenai le mari et laissai ma chère Victorine en rase campagne, quelque peu contusionnée, et à quatre bonnes lieues de chez elle.

Maurice LEBLANC.