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ter dans la poursuite du monstrueux assassin et de vous donner un coup d’épaule dans l’affaire Kesselbach. Affaire très intéressante, vous pouvez m’en croire, si intéressante et si digne de mon attention que je sors de la retraite où je vivais depuis quatre ans, entre mes livres et mon bon chien Sherlock, que je bats le rappel de tous mes camarades, et que je me jette de nouveau dans la mêlée.

« Comme la vie a des retours imprévus ! Me voici votre collaborateur. Soyez sûr, cher monsieur et ami, que je m’en félicite, et que j’apprécie à son juste prix cette faveur de la destinée.

« Signé : Arsène Lupin. »

« Post-scriptum. — Un mot encore pour lequel je ne doute pas que vous m’approuviez. Comme il est inconvenant qu’un gentleman, qui eut le glorieux privilège de combattre sous ma bannière, pourrisse sur la paille humide de vos prisons, je crois devoir loyalement vous prévenir que, dans cinq semaines, le vendredi le 31 mai, je mettrai en liberté le sieur Jérôme, promu par moi au grade de chef des huissiers à la Présidence du Conseil. N’oubliez pas la date : le vendredi 31 mai. — A. L. »