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POÈMES TRAGIQUES.
Que le jeune héros frappe, et n’épargne rien !
Ô Zeus ! sauve mon frère en ce combat suprême !
Moi, je mourrai, s’il meurt.
Zeus ! conduis-le toi-même.
Dans son sentier sanglant qu’il aille jusqu’au bout !
Il est mort s’il recule et s’il n’achève tout.
- On entend de nouveaux cris.
Dieux ! la rumeur redouble.
Lugubrement.
Avec de longs sanglots pleure l’amant.
- Klytaimnestra, pâle et agitée, paraît sous le portique.