Page:Leconte de Lisle - Poëmes antiques, 1852.djvu/353

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.



XXIX






Si les chastes amours avec respect louées
Éblouissent encor ta pensée et tes yeux,
N’effleure point les plis de leurs robes nouées :
Garde la pureté de ton rêve pieux.