Page:Lefèvre-Deumier - Le Parricide, 1823.djvu/110

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée





En ma jeune saison j’aimai d’amour extrême ;
J’ai reposé ma bouche aux lèvres de Lénor.
Hélas ! j’aurai sans doute offensé ce que j’aime ;
Lénor de ses baisers m’a repris le trésor.