Page:Leibniz - La Monadologie, éd. Nolen, 1881.djvu/198

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5. Par la même raison il n’y en a aucune par laquelle une substance simple puisse commencer naturellement, puisqu’elle ne saurait être formée par composition.

6. Ainsi on peut dire que les Monades ne sauraient commencer ni finir que tout d’un coup ; c’est-à-dire elles ne sauraient commencer que par création et finir que par annihilation, au lieu que ce qui est composé commence ou finit par parties.

7. Il n’y a pas moyen aussi d’expliquer comment une Monade puisse être altérée ou changée dans son intérieur