Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/151

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

144 II. Epistre »B S. Paul choies, en foy, en paroles, en Icience, entoure forte de soins, & ai l’aflèélion que vous nous portez, vous le foyez auflÿ en cette grâce feh- èeraUté envers vos frnrtt. 8 Ce que je ne voui dis pas néanmoins pour vous impolcr une loy, mais lêulcment pour vous porter par l’exemple de l’ardeur des autres à donner des preuves de vostre chanté fincere. AfflfierUsfsuevr^iletoKtfonfostvoir. •ts.Pan- ® t sçavez quelle a esté ila bon- BnÊvé- téde nostreSeigneur JesusChrist, qui

  • ?**• estant riche s’est tendu pauvre pour l’amour de

vous, a£uique vous devinlfiez riches par làpau- vraé. 10 Je vous dis donc cecy comme unconfeil que je TOUS donne qui est très utile, *&d’au- tanc plus que vous n’avez pas seulement commencé les premiers à faire cette charité; mais que vous en avez de vousmémes îonaé le dcflèin dés l’année paflèe stvsmt qu’en vom en esfifnrU. 11 Achevez donc nuintoiant ce que vous a- vez commencé de faire dés lors, afin que comme vous avcvttne si prompte volonté d’alllftcr vos&oes, vous ks alfifttez auflÿ eflèérivement de ce que vous avez. Il Carlorlqu’unhommeaunegrandevolon- té de donner, J3imh reçoit, ne demandant de luy que ce qu’il peut & non ce qu’il ne peut pas. IJ Et ainlÿ je n’entends pas que les autres foient foulagez, Sc que vous foyez lùrchar- gpz: &rc, maisiDémedelevoa- MidÉsl’aoneépaflk. ) /.tagiacc ; isEttrelrii. 4 /. puisq ue non {èuiemenc vont avtz coBaacncédele db,