Page:Lemaistre de Sacy - Nouveau testament, Mons, 1667, vol 2.djvu/156

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AUX Corinthiens, Chap.X. 149 Chapitre X. ^A.S.rmdMtuj»defrfimftuK. Sjàfimment ditrmt. Effrit caftffép ffiuchrifi. I Al s moyméme Paul qui vousparle àVx je vous conjure par la douceur & la ■ modefiie de Jesus Christ, moy qui fdm qyu fiebptesutu difiut estant prelènt parois bas (ÿuKprilâble parmy vous, au lieu qu’estant ab- feot j’agis envers vous avec hardiefle. .1 Je vous prie donc qu’estant prelèat je ne fois point obligé d’ufor avec confiance de cette hardiefle ’dont fay deflêin (Puler «nvenqud- quesons, qui s’imagiaou qne nous vivons fclon la chair. } Carencore qgenoasvivioas danslachairt BOUS ne combattons pas selon la chaw. 4 Les armes de nofore’milice ne font point chamelles, mais puissàntes en Dieu pour rcn- vcifor les iemp»its qrimleur«pf»(ii fc e’efipMr set armet que ndusdécrnifonslesraironnemens humÀim ;\t« y & route la hanteflè qui s’élève contre la feience de Dieu, & qœ nous lediûfons en servt- nide tous lesefpntspour UsfiumstmisEdaAS.- fence de Jfe/Sw C H RI s T, 6 ayant en nostre maia le pouvoir de punir tous les desoboflàns, lorlque vous aores ù- tisÜHt à tout ce que l’obeiflànce demande de vous. I 4«.bo«é; eqaitc. I * <*». qu’oB - Mb,