AUX Tmss AtoNiciÉNi, chap. IU. 237 nousavons desiré avec d’aatant plus d’ardeur 8c d’empreflëment de vous revoir. iS C’estponrquoy nous avons voulu vous aller trouver. Et moy Paul j’en ay eu le deflcin plus d’une fois ; nuis Satan nous en a em- pefchez. 19 Et certes qudle est nostre elperance, nostre joie, fc la conronne de nostre gloire? N’est-’ce pas vous qui l’estes (fi qui le firez devant nostrC Seigneur JesusChrist au jour de fon avenement ? 20 Car vous estes nostre gloire & nostre jeûe’. Chapitre III. $. I. terfecutimn» drit foêut treuêlet. Tout Chrestieu s y dût attendre. 1 A IN s* Y ne pouvant fouffrir plus long- ^tcmps de n’avoir point de vos nouvelles, j’aimay mieux demeurer tout liail â Athei nés, 2 8c je vons cnvoyayTiinotltéenaftiie frere fc ministre de Dieu, [g. qui travaille avec moy} dans la prédication de l’Evat^ile de Jefite- Christ, afin qu’il vous fortifiaft & qu’il vousexhortaft à demeurer fermes dans vcistre foy, .3 & que personne ne frist ékanté pouf ks persécutions qui nous arrivent. Car vous sçavez que c’est à quoy nous sommes destinez.\t» 4 Et dés lors même que nous estions parmy vous, nous vous predilions que nous aurions des affliétionsàfoaflrir, cmnine nous en avons ett en effet ainlÿ que vous le sçavez. «
