a’ TiMOTHE’B.Chap. ilL- zy/ ’zo mais comme le doivent estre des femmes qui fontprofeflion depieté, & quiletémoiguenc par leurs Donnes oBuvres. II Que les femmes retiennent enfilence, fc dans une entiere foumillion lorfqu’on les instruit. iz Je ne permets point aux femmes d’enfei-*• gnei ny de prendre aUtorité sur leurs maris ; mais je Uur ardontu de demeurer dans le fî- lence. 13 Car Adam a esté formé le premier, & Eve Cm. i. ensuite.\tU- 14 Et Adam n’a pas cfté seduit ; mais lafem- Gm. 3.C. me ayant esté fêduitte est tombée dans la de- fcbaflànce. I y » Elles se fâuvexont néanmoins par les en- £ins qu’elles mettront au monde, e» froeurant qu’ils demeurent dans la foy, dans la charité, dans ûfaimeté, & dans une vie bien réglée. 1 du. Et neanmotœ «n 1 de, ellesfc ûowtonc, fieUes nxciantdesenfiuuaumon- J diWMmtni,8o:. Chapitre III. $. I. ^uaütez que dût avoir un Evique. I /^’E s T une veritécertaine : Que si <piel- ^^qu’un foidiaieterEpifcr^t, ildesirc une fonétion une œuvrefàiate. z II feut donc quel’ETéque fait irreprehenfi-Tifai.7. ble ; qu’il n’ait ^onfe qu’une fenime ; qu’ilfôit
- fobre, prudent, gKivc (fi medeste,{ »• chafte] aimant rhoépixalité, capable d’iaftmire ;
3 qu’il ne fbit ny fujet au vin, ny violent prompt à frapper ; mais eçiitable (fi modéré ( éloigné des contestations jdefintcreflé ; s dM.viÿIan(> Digrtized by
