Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
153
LÉON BARRACAND.
Nul ne saura là-haut les secrets de la terre.
Seul, le faune joyeux qui hante le ravin,
Peut-être surprendra l’ineffable mystère,
Et soudain, détrompé de ta sagesse austère,
Au plus profond du bois plongeant, brusque et moqueur,
D’un rire au loin strident te glacera le cœur.
(L’Enragé)
____________