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LÉON BARRACAND.

Nul ne saura là-haut les secrets de la terre.
Seul, le faune joyeux qui hante le ravin,
Peut-être surprendra l’ineffable mystère,
Et soudain, détrompé de ta sagesse austère,
Au plus profond du bois plongeant, brusque et moqueur,
D’un rire au loin strident te glacera le cœur.


(L’Enragé)





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