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Nerciat « ou fragments thalipriapiques pour servir à l’histoire du plaisir » ; le Parnasse satirique du XIXe siècle, recueil de vers piquants et gaillards de MM. de Béranger, V. Hugo, E. Deschamps, A. Barbier, A. de Musset, Barthélémy, Protat, G. Nadaud, de Banville, Baudelaire, Monselet, etc. ; Deux g…, Quatre petits poèmes libertins ; et toujours la mention de « frontispices révoltants, sacrilèges ou fangeux », du susdit S. P. Q. R.

Ce sont les messes basses dans les petites chapelles en attendant les grandes Messes noires devant le maître-autel. Le diable, en costume d’abbé galant, le loup d’arlequin sur le nez, y confesse les nonnes du gentil péché d’amour dans des sacristies où ne pend point encore au mur la terrible Tentation de saint Antoine. Attendez que la mort, plus puissante que l’amour et que le diable