Page:Lemonnier - Félicien Rops, l’homme et l’artiste.djvu/131

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vieux châlit, nous dormîmes un long sommeil harcelé de cauchemars où


tantôt l’un, tantôt l’autre nous réveillait de cris inarticulés, où il fallait secouer le dormeur pour l’arracher à des visions de cadavres, où alors, pendant des