Page:Lemoyne - Poésies, 1871-1883, Lemerre.djvu/119

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Nous avons le secret de ses larmes fécondes :
Sa joie et sa douleur sont deux sources profondes
Où s’abreuvent sans fin tous les cœurs altérés...
Ses plus riches éclairs jaillissent des ténèbres,
Comme un Alléluia sorti des chants funèbres,
Jetant son cri de gloire aux plus désespérés.