Page:Lemoyne - Poésies - 1873.djvu/203

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Parfois j’ai vu renaître une rose nouvelle
Qui sur la même branche épanouit sa fleur.


LE POÈTE.

Bénis soient tes amours, bienheureuse hirondelle !
Moi, j’ai connu, dans l’ombre et la fraîcheur des bois,
Des plantes qui jamais n’ont fleuri qu’une fois.