Page:Leopardi - La Poésie, trad. Lacaussade, 1889.djvu/176

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Quand la réalité fatidique et cruelle
Allait se révéler à tes yeux, tu tombas,
O vierge ! et de la main tu me montrais la-bas
Où monte des cyprès la flèche toujours verte,
La froide Mort debout sur une tombe ouverte.