Page:Leopardi - Poésies et Œuvres morales, t2, 1880, trad. Aulard.djvu/49

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mon doux troupeau, peut-être serais-je plus heureux, ô blanche lune ! Peut-être aussi ma pensée erre-t-elle loin du vrai en regardant le sort d’autrui, et peut-être, dans quelque forme, dans quelque condition qu’on se trouve, dans une étable ou dans un berceau, le jour natal est-il funeste à celui qui naît.