Page:Leprohon - Antoinette de Mirecourt ou Mariage secret et chagrins cachés, 1881.djvu/209

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influence, était, hélas ! trop dangereusement attrayante ? Il faut le croire, car, se couvrant le visage avec ses mains, et comme honteuse de la faiblesse que ses paroles accusaient, elle s’écria :

— Non, je ne dois plus jamais voir Evelyn !