Page:Leprohon - Antoinette de Mirecourt ou Mariage secret et chagrins cachés, 1881.djvu/8

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Avec toute la presse canadienne, nous déplorons cette fin prématurée et la perte que font aujourd’hui les lettres et la société. Nous nous faisons surtout un devoir d’offrir l’expression de notre profonde sympathie à la famille que cette mort vient de plonger dans le deuil. Nous comprenons quel vide laisse après elle une épouse, une mère si digne d’amour et de vénération. Hélas ! quelles paroles peuvent consoler une telle douleur, adoucir de tels regrets ?