Page:Leroux - La Double Vie de Théophraste Longuet.djvu/127

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
109
SUITE DE L’HISTOIRE DE CARTOUCHE

Il se frotta les mains et sa jubilation était telle qu’il ne cessa de plaisanter sur tout, même sur les Chopinettes, sur le Coq et sur le Four, qui, cependant, semblaient, dans le document, marquer les trois points d’un triangle qui renfermait une fortune. Mais il plaisantait la fortune. Au crépuscule ils reprirent le chemin de Paris.

Comme ils arrivaient à la gare Saint-Lazare, M. Adolphe Lecamus lui posa la question suivante :

— Mon ami, quand tu es Cartouche, que tu te promènes dans Paris et que tu vis de la vie de Paris, dis-moi ce qui t’étonne le plus. Est-ce le téléphone, le chemin de fer, le Métro, la tour Eiffel ?

Il répondit :

— Non, non ! Ce qui m’étonne le plus, quand je suis Cartouche, c’est les sergents de ville !