Page:Leroux - Le fantôme de l'Opéra, édition 1926.djvu/72

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Tandis que sur la scène se déroulait le ballet triomphal (5), Christine vivait des heures d’angoisse (8) — Un homme enveloppé d’un grand manteau noir, au visage masqué, l’entraînait par un mystérieux chemin jusqu’à sa demeure souterraine (1, 2, 4, 6).
Elle avait hurlé d’horreur (3) en voyant le visage hideux du fantôme ; mais la voix d’ange d’Erik, son génie musical (7) avaient conquis le cœur de l’actrice.