chi et commençait à baisser humblement
la tête, je m’aperçus à temps du malheur
qui me menaçait et par les caresses les plus
tendres j’eus bientôt remis le pauvre effaré
dans son état brillant. Oh ! de quels plaisirs
alors je fus payée pour la complaisance que
j’avais déployée dans cette occasion, après
avoir de nouveau repris par quelques attouchemens
tous les avantages que la surprise
lui avait fait perdre, il me replaça
dans la position que je vous ai décrite tout
à l’heure et aussitôt je sentis entre mes
cuisses l’instrument auquel j’avais dû tant
de fois de douces sensations, j’aidai en poussant
mes fesses vers les cuisses de mon
amant à la prompte jonction de nos deux
parties et je le sentis s’introduire jusqu’à
la racine, sa chaleur me brûlait les entrailles,
je ne fus plus maîtresse de moi et
je me livrai à toute ma fureur amoureuse
avec un emportement qui mettait mon
amant aux nues. Ah ! disait-il, non jamais,
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