Page:Lettres portugaises, 1669.djvu/12

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Helas ! les miens ſont priuez de la ſeule lumiere, qui les animoit, il ne leur reſte que des larmes & je ne les ay employez à aucun vſage, qu’à pleurer ſans ceſſe, depuis que j’appris que vous eſtiez enfin reſolu à vn éloignement, qui m’eſt ſi inſupportable, qu’il me fera