Page:Lettres portugaises, 1669.djvu/20

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défendis de revenir à une vie que je dois perdre pour vous, puiſque je ne puis la conſerver pour vous. Ie revis enfin, malgré moi, la lumiere ; je me flattois de ſentir que je mourois d’amour ; & d’ailleurs j’étois bien aiſe de n’être plus expoſée à voir mon cœur déchiré par la