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Page:London - Contes des mers du Sud, trad. Postif et Gruyer, 1948.djvu/109

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clusion, les cicatrices profondes de son crâne chauve.

« En ce qui me concerne, opina-t-il, j’estime que depuis quarante ans que j’exerce ce métier, j’en ai largement mon compte.

« Ce voyage est le dernier. Quand il sera terminé, je regagnerai mes pénates, pour ne plus les quitter.

— Hum ! Hum ! rétorqua Roberts, je parie toutes les consommations que nous venons d’absorber que vous vous vantez. Vous mourrez sous le harnais et non dans un fauteuil.

— J’accepte, riposta vivement le capitaine Woodward. Car vous perdrez. »

Mais, personnellement, j’estime que toutes les chances sont du côté de Charley Roberts,