Page:Loti - La troisième jeunesse de Madame Prune, 1905.djvu/87

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quelles nous autres étrangers ne pénétrons pas encore. Et des officiers, mes camarades, qui ont déjà été soignés et pansés par elles, gardent le meilleur souvenir de leurs mains si petites, douces, adroites, aux patiences inlassables.

Mais ces énormes bonnets gonflés d’air, ces espèces de coiffes à la Cauchoise, qui dira pourquoi ?…