Page:Loti - Pêcheur d Islande.djvu/210

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sement en claquant de la queue contre le bois du pont ; tout était éclaboussé de l’eau de la mer et des fines écailles argentées qu’ils jetaient en se débattant. Le marin qui leur fendait le ventre avec son grand couteau, dans sa précipitation, s’entaillait les doigts, et son sang bien rouge se mêlait à la saumure.