Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 3.djvu/116

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

encore. Ah ! que ne puis-je voir mon visage, que ne puis-je baiser mes lèvres, que ne puis-je enlacer mon corps à mon corps et m’étreindre languissamment !