Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 3.djvu/200

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Strophe IV

— en passant par le bronze mince, et les roseaux qui croissent dans la cité callichore des Grâces, dans le bois sacré de la Kaphisis[1] où ils sont les témoins fidèles des chœurs qui dansent. — S’il est des jouissances chez les hommes, sans effort elles n’apparaissent point, et peut-être aujourd’hui le destin va les anéantir ; car ce qui est marqué pour la mort ne peut être évité. Il viendra, cet instant qui, jetant la désespérance, tout au contraire de nos desseins donnera ou ne donnera pas.

  1. Orkhomène et le lac Kopaïs.