Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 4.djvu/201

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mourir, l’effroi le plus présent qu’elle eût jamais connu, dit d’une voix précipitée :

« C’est Aphrodisia ! Ce n’est pas moi ! ce n’est pas moi.

— Ta sœur !

— Oui ! oui ! dirent les mulâtresses, c’est Aphrodisia qui l’a pris ! »


Et elles traînèrent à Bacchis leur sœur qui venait de s’évanouir.