Page:Louÿs - La Femme et le Pantin, 1916.djvu/268

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présentait, portant une lettre, et André sut plus tard que la lettre était celle-ci :

« Ma Conchita, je te pardonne. Je ne puis vivre où tu n’es pas. Reviens. C’est moi, maintenant, qui t’en supplie à genoux.

Je baise tes pieds nus.

« Mateo. »
FIN

Séville, 1896

Naples, 1898.