Page:Lucile de Chateaubriand, ses contes, ses poèmes, ses lettres.djvu/72

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ries. Mais plus heureuse que moi, citoyenne des cieux, tu conserves toujours la sérénité ; les tempêtes et les orages qui s’élèvent de notre globe, glissent sur ton disque paisible. Déesse aimable à ma tristesse, verse ton froid repos dans mon âme.