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  Quand Françoise Cozic entra dans la maison,
La gouvernante se mit à genoux devant elle :
— Françoise Cozic, pardonnez-moi,
Je vous ai grandement offensée ! —

  — Gouvernante, relevez-vous.
Et demandez pardon à Dieu ;
Demandez pardon à Dieu,
Gouvernante, pour moi je vous pardonne ! —

V

  La gouvernante est allée au bûcher.
Et celle-là, ils sont venus à bout d’elle :
À la distance de deux journaux de terre,
Le feu s’élançait pour la consumer !


Plouaret, décembre 1854
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MONSIEUR DE LA VILLEBLANCHE
ET LA PETITE SERVANTE.
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I

  A la Villeblanche il y a de la douleur,
S’il en est quelque part au monde,
À cause de la gouvernante,
Qui s’est trouvée enceinte.

  La gouvernante disait
Un jour à monsieur de La Villeblancbe :
— La petite servante est dans son lit.
Avec un petit enfant à son côté ;

  Avec un petit enfant à son côté,
Et un couteau nu à la tête du lit ! —
Par une finesse de femme,
Elle (la gouvernante] a changé ses draps de lit ;

  Elle a changé ses draps de lit,
Et les a mis à la petite servante.
Monsieur de La Villeblanche, en entendant cela,
Alla trouver la justice.