Page:Luzel - Veillées bretonnes, Mauger, 1879.djvu/51

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qui obtint d’aller voir sa maîtresse, dans l’enfer.

— Chantez-nous le gwerz, Poazévara, dit Marianna.

— Ce sera pour une autre fois, dit Katel, car voilà qu’il est neuf heures et demie, et il faut aller se coucher.

Cette veillée finit donc ainsi, et chacun regagna son lit, la tête pleine de merveilles et d’apparitions, et plus d’un en rêva encore, pendant son sommeil.