Page:Lyriques grecs - traduction Falconnet.djvu/582

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l HI LÃNTHOIDGIE. c. sun us simu; sonar. De Flaccus. Fuis les fatigues de la mer ; adonne-toi plutôt aux tra- p vaux fertiles des bœufs, si tu veux arriver heureusement au terme d’une longue vie. Jamais surla mer les hommes ri’ont eu le temps de voir blanchir leurs cheveux. l ci, son ou wrrrsn nn rnnms. ` D’un inconnu. Oui, le dieu est venu sur la terre pour se montrer à toi , o Phidlasl ou tu os monté aux cieux pour le découvrir. cn. sun n anuissn un rmou. D0 Démètrius Bilhynuu. Bl un venu me voyait, il mugirait; Il o’étnit un teu- _ tenu , il félancernit vers moi; mais si cütsit un berger , il voudraitme chasser au milieu de son troupeum cm. svn UNE survm nn lumen:. De Xènocrale. ` Un homme priait en vain .un Mercure de bois : irrité » il le jeta à terre et le brtsa. Des pièces d’or se répondi- rent de ses fragments. Souvent une injure rapporte un ubénéllce. ¢1lv· Ilm uuu s’rA1‘Un un 1.’0u6A8l0l•· - l)’où est celui qui t’& sculptés? — De Sicyoue. _ — Quel est son nom? — Lysîppe. Y - Et toi, qulpos-tu? - L’Occa¤lon, qui triomphe de tout. l ·-— Pourquoi te tiens—tu SU; la pointe du Dîüd ? l -— Je cours toujours. l — Pourquoi des ailes à tes deux talons? e N l