Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/397

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

^LECTRO- DYlSrÀJVIIQOÉS. 1, 2OÔ

1823. v i 1 7’C" a7 "1"t" ñ̃̃- ̃̃ii(.d-s’-lri~ «̃cos.’é– (i– re – 2^)/r-"cos/édrl. Le premier terme :/1- ««os.3 6’ s’évanouit aux limites. Quant à l’intégratey-r– "cps.1 6’ d r ; il est très-facile de concevoir un circuit fermé pour lequel elle ne se réduise pas à zéro. En effet, si on coupe ce circuit par des surfaces sphériques très-rapprochées ayant pour centre le milieu de l’élément ds’, les deux points ou chacune de ces sphères coupera e circuit donneront la même valeur pour r et des valeurs égales et de signes contraires pour d r. mais les valeurs de cos.2 8’ pourront être différentes, et il y aura une infinité de manières de faire en sorte que les carrés de tous lés cosinus relatifs aux points situés d’un même côté entre les points extrêmes du circuit soient moindres que ceux relatifs aux points correspondants de l’autre côté ; or, dans ce cas, l’intégrale ne s’évanouira pas ; et comme l’expression ei-dessus doit être nulle, quelle que soit la forme du circuit, il faut donc que le coefficient i – n–zk de cette intégrale soit nul, ce qui donne entre n et & cette première relation i – n– o.k~=or Avant de chercher une seconde équation pour déterminer ces deux constantes, nous commencerons par prouver que k est négatif, et, par conséquent, que n= i –zk est plus grand que i nous aurons recours pour cela à un fait bien facile à w constater par l’expérience, savoir qu’un conducteur rectiligne indéfini attire un circuit fermé, quand le courant électrique de ce circuit va dans le même sens que celui du conducteur dans la partie qui en est la plus voisine, et qu’il le repousse dans le cas contraire.

Soit UV (fig. y) fe conducteur rectiligne indéfini ; suppo-