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256 THÉORIE DES PHÉNOMÈNES

on ~obtient5 en réduisant,

d’ r s s’ sin.’ E -1- a’ cos. E

dsds’ + rs =

d’où

Sst’ i d’ r a2 COS.

r’ sin.’ E Cdsds’ + r3 e)

7~~sinFI~d-d d’

Substituant cette valeur ainsi que celle de ss’ dsds~ dans l’expression du moment de rotation de l’élément, il devient 1 dsds ~r ~° ? q a2 2 cos. d’ ~COS.eM —~Sin.6Q~d~, ––- ?–––(T––– ;+––3––) 2 Ld-d~ y"’ sn]~d-d~ S ~J ï i jt ~sin.s d*7’ cos.6" d’ q ~’sin. é d’ r cos. E’ a2 —2 ii’dsds’ (sin.ey–––– ;– –cot.e-T–r~– -–r) 2 d-d~’ r d-d~ s’ sin. i.i j t~ ? q j. r d’r r i ==- d-d~ (sin-s-]–––cot.s-.–.––-–’–) ; ` 2 sm4e-d d dsds’^ sin.-E ~-r3~’ et intégrant par rapport à et s’, on a pour le moment total n i à C c~ sin. r cot. E a. dsds

—ï~ [~sin.~–ycot.s–-––, –),

le calcul se ramené donc, comme précédemment, à trouver la valeur de l’intégrale double -––.

Si les courants sont dans un même plan, on a ~==0, et le moment se réduit à

—M’(~sin.e–~cot.i :),

résultat qui coïncide avec celui que nous avons obtenu en traitant directement deux courants situés dans un même