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32O THÉORIE DES PHÉNOMÈNES d2 /~–~ d-~–~–~) (~–~) d~–(~–~)(~–~)d~+(jr-yTd-3 3

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l-o~’E~d~6`~Crdx-(x-x’idr~ s, d~ç’ (~1-~) en.nommant, x2, et r rz les valeurs de x.et dé r aux deux, .extrémités de l’arc s pour lequel on calcule la valeur de la différence des deux moments. Quand cet arc forme un circuit fermé, il est évident que ce qui rend nulle l’intégrale ainsi obtenue ; on a donc alors

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a l r3 `-Nga, d C2~ r3.x-i, J I[w’d~) ~, d~–––~–––ï=~d~(~~–~– On trouve par un calcul semblable que les moments relatifs aux deux autres axes sont les mêmes, pour un circuit fermé soit qu’on suppose que les directions des forces

d y~°, E’d2s’vrd r. N.~(~~`d’ç', wd p.ge cr <r ~~s d~ -~–, p-gp.e cr-¡:3

passent par l’élément -d2 T’on parle milieu de d s ; d’où il suit que dans ces deux cas l’action qui a lieu sur le contour s est exactement la même, ce contour étant invariablement lié aux deux surfaces très-voisines qu’il termine l’action exercée sur ces deux-surfaces par l’élément d’</se réduira donc, pourvu que le contourssoit’une courbe fermée, aux forces appliquées comme nous venons de le dire à chacun des éléments de ce contour, celle qui agit sur l’élément ds ayant pour valeur

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