Page:Mémoires de l’Académie des sciences, Tome 6.djvu/793

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EN SERIES PÉRIODIQUES. 6b5

—Y "a e (~ I~~ v~’ a e 2"~ a x N~) ~ir `~ +Jo a~ v=.Î~~)d~ + f o x v..Î(~)d-1- 6 e I 8 e a~Î(c~)d~+ a (p.) d IL +, a· 2, r I p.) d p. +- a 2 1 f (V.) d [Jo o 2 fC E~) d -È- 2 1.f (N) d E— fa x V

~0 a", J: +-~––––––––(~)~.

—6 e-e.

Or, ô étant très-rapproché de l’unité, et x étant compris

entre zéro et a, l’expression

r+ –––– + L J

a ’x I 9 e a (x I/- I 8

sera Sensiblement nulle, excepté quand ^différera très-peu

de a ?. Par suite, la dernière des intégrales relatives à pourra

être prise entre deux limites très-rapprochées de x. Or, si

l’on fait ; a = x + e w et 6 = i – £ cette intégrale sera réduite

sensiblement à

a – x ̃

I’I^WV-: I— W ~I

E s. a, a

On aura donc, entre les limites x =o, a ;=<7>

~~) J`’(x) = a f o.f () d I~ + a~ a 0 cos. 2- (x- -I~):Î(~) d c~+~ 0 èos. â-"(x-~)vÎ(~)d+ etc.