i. k. Couche ligneuse de la troisième année. – i. b. Couche ligneuse de la quatrième année. – n. Gros vaisseaux du bois : ces vaisseaux forment la limite intérieure de chaque couche ligneuse. – o. Petits vaisseaux du bois : ils sont répandus dans l’épaisseur de chaque couche ligneuse. – p. Etui médullaire : ce sont les vaisseaux qui entourent la moelle. — q. r. Moelle. – s. Rayons médullaires.
Fig. 4. Portion de la fig. 3.
a. b. Écorce. – a. c. Enveloppe cellulaire. – b. c. Liber : il offre quatre couches très-distinctes. – c. f. Couche de la première année. – f. e. Couche de la seconde année. – e. d. Couche de la troisième année. – d. b. Couche de la quatrième année. – g. Rayons médullaires. – h. Lames cellulaires interposées entre les couches du liber. – k. i. Portion de la couche ligneuse de la troisième année. – i. b. Couche ligneuse de la quatrième année. – n. Gros vaisseaux du bois : ces vaisseaux forment la limite extérieure de chaque couche ligneuse. – o. Petits vaisseaux du bois : ils sont répandus dans l’épaisseur des couches ligneuses. – s. Rayons médullaires du bois.
Fig. 5. Le même fragment de la fig. 3, représenté fig. 4. grossi au point de faire voir le tissu organique dans ses moindres détails.
a. b. Écorce. – t. Lacunes. – a. c. Enveloppe cellulaire. – b. c. Liber. – c. f. Couche de la première année. – f. e. Couche de la seconde année. – c. d. Couche de la troisième année. – d. b. Couche de la quatrième année. – g. Rayons médullaires. – h. Couches cellulaires interposées entre les couches du liber.
