Page:Ménard - Poèmes et Rèveries d’un paien mistique, 1895.djvu/311

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LETTRE D’UN MDAIIN q’un seul ome prisso pour la nacion ?, Je cmis qe c’est dans rEvangile, qi condamne ddament la politiqe utiHim, car il met ce mot dans la bouche. de Ce, un des meuers de vot Dieu. I1 estvrai qe le texte parle d’un ome, et non d’un an mmmi- ire; mais !a morale n’esale imperative q’en des. s de mme espce? Si, come respire M. Renan, le Daisme pmduisait, par slexion, une race d’animaus suptriee h Yespbce umaine, c ce amiable le droit de nous soumt, ds son int- t, des experiences de vivisexion? Je suis toni de uver dans h Gritiqefilosofiqe le point de e de la jusce solue subordond i cel d’une ntili supdeure; cela conduit aus arments firis de la raison d’Et. La ur de aude Bernard, po rparer les mes de la fisiologie expmenle, a ouve un asile de chief. Au jugement dernier, cte ofrande expia. e d’une umblo conscience de free psera plus, da l’iaillible bce, qe toutes les douves de son frre. I1 n’i a pas de conq seientifiqe qi raffle sa0rffice d’un sentiment mol. Or le pmier de tous, celui qi nous rvle la 1oi de Justice, c’est le. sentiment de la pitii. On voit un itre qi soufre, on se &t: come je soufrirais si j’is i sa place et on uf avec lui, come l’indiqe l’timologie- mbme du mot simpatie, oosi0s, compatir; ce sen. tent est pl vif l’rd des tres qi se pr- chent de nous p leur ornisme: on s’apitoie sur-

veb plus qe sur un insect, pae qe l’insee- 

nous pt mos sueptible de douleur. La com- psion est fondde sur l’anogie des sismes ne w, et non sur la hirchie intellectule, et pe-