Page:Mérimée, Lettres à une inconnue 1,1874.djvu/135

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beaucoup d’aplomb. Quant au cachet antique, vous en verrez une empreinte sur cette lettre, et il est à vos ordres, lorsque vous m’aurez dit où je dois vous le donner ; non, comment je dois l’envoyer. N’offensons pas l’eternal fitness of things. Je ne vous demande rien en échange, par la raison que tout ce que je vous ai demandé, vous me l’avez refusé. Si vous croyez faire mal en me voyant, ne faites-vous point mal en m’écrivant ? Comme je ne suis pas très-fort sur votre catéchisme, cette question demeure embrouillée pour moi. Je vous parle trop durement, peut-être ; mais vous m’avez fait de la peine, et les choses que j’ai sur le cœur, je ne m’en délivre pas comme vous, en mangeant des gâteaux. En vérité, cela est digne de Cerbère.

XXVII

Paris, samedi, novembre 1842.

Das Lied des Clærchens gefällt mir zu gar ; aber warum haben Sie nicht das Ende geschrie-