Page:Mérimée - Lettres à une autre inconnue, 1875.djvu/233

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qu’à Nice elle avait passé l’hiver à déjeuner en ville, puis luncher, avec bal à la suite du lunch, dîner, bal, souper et quelques visites ou parties de campagne dans les entr’actes. Cela m’a paru lui avoir fait beaucoup de bien.

Adieu, chère Présidente ; je vous souhaite tout le bonheur possible sur cette terre.

Veuillez faire mes compliments au Vésuve.