Page:Mérimée - Lettres à une autre inconnue, 1875.djvu/258

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J’ai des nouvelles de Compiègne, où l’on travaille beaucoup, à ce qu’on m’assure. Mon rhume ne va pas trop bien, mais il faut en prendre son parti.

Adieu, chère et aimable Présidente ; veuillez agréer l’expression de tous mes respectueux hommages.