Page:Mairobert - Anandria, ou Confessions de Mademoiselle Sapho, 1789.djvu/146

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reſte, nous ſommes les meilleures amies du monde : elle m’appelle ſon enfant ; je lui gagne beaucoup d’argent, dont elle ne me rend qu’une très-petite part ; mais elle m’aſſure que lorſque je ſerai délivrée de mon fardeau, elle me procurera un bon entreteneur, & me remettra une troiſieme fois dans le chemin de la fortune. J’eſpere bien en mieux profiter. Malheur aux dupes qui tomberont dans mes filets !

FIN.