Page:Mallarmé - Œuvres complètes, 1951.djvu/1587

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d’autographes et d’Éditions originales, de la Bibliothèque Jean Lahor. Giraud-Badin et Cornuau, Paris, 1935.) P. 303. BALLETS (Paris, 1886.) Ces pages formèrent la seconde partie, et la plus étendue, des Notes sur le Théâtre, publiées dans le numéro du i<‘r décembre 1886 de la Revue Indépendante (pp. 247-253). Elles furent reproduites dans le numéro de juin-juillet 1890 de la revue liégeoise la ll'al-lonie. Le second paragraphe débutait par : « Tout le souvenir, non pas ! resté du spectacle récent de l’Éden, faute d’autre poésie : ce qu’on nomme ainsi, au contraire, y foisonne, déhanche d’aimable esprit (1). » Avec cc renvoi : « (1) AI. Gondinet, on sait. » Pour le reste, variantes insignifiantes. Au paragraphe débutant par : « Un art tient la scène... » après les mots « ...d’élire une mime... », ce renvoi ; «(1) Fût-ce l’expressive et gracieuse Mademoiselle San-laville. » Ces quelques corrections furent faites lorsqu’en 1890, Mallarmé prépara le recueil Rages, paru, l’année suivante, à Bruxelles, chez Deman, et où ces pages figurent sous le titre semblable : Ballets. P. 307. LES FONDS DANS LE BALLET (Paris, février 1893.) Ces pages parurent d’abord dans le National Observer du 13 mars 1893, sous le titre Considérations sur l’art du Ballet et la Foie F aller, puis dans le premier numéro (juin-août 1S95) de la Revue franco-américaine sous le titre : Étude de Danse. P. 310. MIMIQUE (Paris, octobre 1886.) Le second paragraphe de ce morceau forma la seconde partie des Notes sur le Théâtre du numéro de novembre 1886 de la Revue Indépendante (p. 43). Le premier paragraphe n’y figurait pas, mais ceci : « Mieux que par l’énoncé d’un titre, il m’aurait plu de marquer la reprise opportune encore de la Tour de Nesle et l’installation des Deux Pigeons : mais je ne juge pas hors de propos, à moins que quelque représentation grosse d’un fait parisien tout à coup n’échoie, d’y revenir dans un mois, rencontrant ainsi l’occasion de joindre à des remarques sur le Ballet une étude suggérée par la part que tient la Musique dans le Mélodrame ; ce sont les deux thèmes connexes qui, seuls, importent maintenant, au poëte. « Pour ne pas rester sur des promesses !