il continue devant, mais en diminuant. — Tablier bouillonné en forme de tunique, posé et cousu sur la robe : et chaque bouillon séparé par un agrément en jais. Echarpe plissée en satin carmin, retenue de côté par une boucle en jais. — Corsage à basques formant éventail. Manches de la même garniture et avec le même volant que la jupe Capulet, qui est cil velours noir. Le patron de cette toilette, reçu de droit avec la livraison du premier dimanche du mois, peut être avec celle-ci, mise également à la disposition des abonnées. Voir, pour les prix supplémentaires, la correspondance avec les abonnées des livraisons parues jusqu'ici. II. - Gravures noires du texte Première page. 1. Toilette de ville. —Jupe de velours noir. Tunique de cachemire blanc naturel, garnie de frange du même; la disposition répétée trois fois. Basquine ajustée en velours noir, avec boutons japonais. 2. Toilette de grande visite. Première jupe en faille gris russe, liscrée de satin. Tunique. Echarpe même nuance, rayée velours et satin : cette tunique, nouée sur la traîne, est garnie d’une fort belle frange façonnée. La petite confection : pèlerine à plis sur l’épaule, semble, quoiqu’elle y soit fixée, rejetée en arrière. Pages du milieu. 3. Chapeau Lebrun. — Modèle de Mlnc Moreau Didsbury (voir la Gazette de la Fashiori). Large .passe contournée, calotte très-basse couverte de velours noir, panache de plumes noires et aigrette de côté : sous la passe, couronné de larges coques en velours noir avec gros bouquets de roses rouge du Roi, flot de rubans derrière. 4. Peigne et Coiffure Virgile (voir la Gazette de la Fashion). — Cette coiffure se fait avec une natte de quatre-vingt centimètres, la disposition du peigne facilitant l’entrelacement des mèches. Trois boules en écaille ajoutées font de cette coiffure une ravissante coiffure de dîner. LA MODE Les Fêtes. — Trois costumes df. Chasse et une Toilette de Mariée : Accointances entre la Couturière et les Chancelleries, puis une étiquette sur la rive droite et une habitude sur la rive gauche. — Le Papillon EMBLÈME ? NON, PARURE Paris, le 1S octobre 1874. L’Automne a commencé et le Journal véritablement avec cette saison : les deux derniers Courriers ont tracé à grands
